Les Allergies Saisonnières ou la panique du système immunitaire!!
Pour autant, il est très difficile de prouver le rôle réel des particules en suspension dans l’air ou dans l’eau.
Si certains affichent un sourire radieux dès l’arrivée du printemps, d’autres font plutôt une drôle de tête ! Les yeux rouges, gonflés, ils entonnent sans relâche le terrible refrain du ‘Rhume des Foins’ : sniff sniff atchoum atchoum atchoum (le nombre de répétitions variant d’un couplet à l’autre).
Le dit "rhume des foins" doit son nom à sa fréquence pendant la saison du printemps. Débutant au mois de mai, notamment avec la floraison des graminées, des herbacées et des arbres (marronnier, peuplier, mûrier, etc.). En effet, la caractéristique d’inflorescence de ces espèces est particulièrement adaptée à la dispersion par le vent car oscillant facilement au moindre courant d’air.
Allergies saisonnières Au contact de la peau et des muqueuses respiratoires des personnes sensibilisées, les pollens en suspension dans l’air génèrent des réactions allergiques. Appelée pollinose, l’allergie au pollen peut provoquer diverses manifestations dont les plus fréquentes sont la rhinite allergique, la conjonctivite et l’asthme. En bref, vous ressentez des picotements forts désagréables dans le nez, la gorge, à la voûte du palais, suivis d’éternuements violents, répétitifs, incontrôlables, les yeux sont larmoyants, irrités, souvent gonflés, et n’oublions pas le summum : une obstruction nasale diminuant considérablement l’odorat mais nullement l’effet fontaine ! D’autres signes peuvent être associés comme des démangeaisons, des maux de tête ou des difficultés respiratoires pouvant dégénérer en crise d’asthme.
Néanmoins, chez de nombreux sujets, le rhume des foins sévit en toute saison. En effet, il est non seulement susceptible d’être induit par des pollens mais également par des moisissures, des spores, des champignons, des plumes, des poils, des poussières ou des fumées.
On note également de nombreuses manifestations allergiques provoquées par le soleil, certaines matières ou produits (nickel, latex, cosmétiques…), des aliments (arachide, œuf, sésame,…) ou des piqûres d’insectes. Selon les sujets, les réactions peuvent aller du simple eczéma à des réactions cataclysmiques parfois mortelles.
Quels que soient les allergènes qui vous concernent, il est important de consulter un spécialiste afin d’établir un diagnostic et un traitement approprié. Car, si souvent les allergies sont bénignes – quoique fort désagréables – au fur et à mesure des contacts avec l’allergène responsable, et en l’absence de traitement, la sensibilité s’accroît.
Outre un traitement approprié, il convient d’adopter dans son quotidien une attitude préventive qui, sans remédier à l’allergie, préviendra une aggravation progressive.
Puis finalement, entre deux paquets de mouchoirs en papier, vous réapprendrez à jouir du merveilleux spectacle de Dame Nature !
Ce que nous touchons, respirons ou mangeons peut être responsable de l’apparition ou de l’aggravation d’eczéma, d’urticaire, de rhinite ou d’asthme.
Pour autant, il est très difficile de prouver le rôle réel des particules en suspension dans l’air ou dans l’eau.
Si certains affichent un sourire radieux dès l’arrivée du printemps, d’autres font plutôt une drôle de tête ! Les yeux rouges, gonflés, ils entonnent sans relâche le terrible refrain du ‘Rhume des Foins’ : sniff sniff atchoum atchoum atchoum (le nombre de répétitions variant d’un couplet à l’autre).
Le dit "rhume des foins" doit son nom à sa fréquence pendant la saison du printemps. Débutant au mois de mai, notamment avec la floraison des graminées, des herbacées et des arbres (marronnier, peuplier, mûrier, etc.). En effet, la caractéristique d’inflorescence de ces espèces est particulièrement adaptée à la dispersion par le vent car oscillant facilement au moindre courant d’air.
Allergies saisonnières Au contact de la peau et des muqueuses respiratoires des personnes sensibilisées, les pollens en suspension dans l’air génèrent des réactions allergiques. Appelée pollinose, l’allergie au pollen peut provoquer diverses manifestations dont les plus fréquentes sont la rhinite allergique, la conjonctivite et l’asthme. En bref, vous ressentez des picotements forts désagréables dans le nez, la gorge, à la voûte du palais, suivis d’éternuements violents, répétitifs, incontrôlables, les yeux sont larmoyants, irrités, souvent gonflés, et n’oublions pas le summum : une obstruction nasale diminuant considérablement l’odorat mais nullement l’effet fontaine ! D’autres signes peuvent être associés comme des démangeaisons, des maux de tête ou des difficultés respiratoires pouvant dégénérer en crise d’asthme.
Néanmoins, chez de nombreux sujets, le rhume des foins sévit en toute saison. En effet, il est non seulement susceptible d’être induit par des pollens mais également par des moisissures, des spores, des champignons, des plumes, des poils, des poussières ou des fumées.
On note également de nombreuses manifestations allergiques provoquées par le soleil, certaines matières ou produits (nickel, latex, cosmétiques…), des aliments (arachide, œuf, sésame,…) ou des piqûres d’insectes. Selon les sujets, les réactions peuvent aller du simple eczéma à des réactions cataclysmiques parfois mortelles.
Quels que soient les allergènes qui vous concernent, il est important de consulter un spécialiste afin d’établir un diagnostic et un traitement approprié. Car, si souvent les allergies sont bénignes – quoique fort désagréables – au fur et à mesure des contacts avec l’allergène responsable, et en l’absence de traitement, la sensibilité s’accroît.
Outre un traitement approprié, il convient d’adopter dans son quotidien une attitude préventive qui, sans remédier à l’allergie, préviendra une aggravation progressive.
Puis finalement, entre deux paquets de mouchoirs en papier, vous réapprendrez à jouir du merveilleux spectacle de Dame Nature !
Il semblerait que plus l’allergie est sévère, plus c’est grave ! Alors si c'est le cas pour vous, prenez soin de vous et n'hésitez pas à visiter votre ORL.